DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ Par Dan Albertini
- Ou le Calcul Airbus de Bombardier en est-il d’un Anti-Américanisme
Entre (). À moult reprises, j’ai attiré l’attention sur le redéploiement d’agents d’information russes et chinois, à travers le monde. Spécifiquement en Amérique (Nord). J’ai formulé depuis 2002, l’équation chinoise. Elle nous appelait à recréer l’Amérique. Ou, échouer. Washington comprend enfin mais si tard. DC accuse le « puissances révisionnistes ». Fermons les ().
11-2017 GANIS/SANIS, voilà en résumé ce que je publie entre (), chez Haïti Observateur : Jérusalem répond désormais en mode diplomacy-policy, plus de doute Justin se doit en solidarité avec Trump. Ottawa dont (3) zones nucléaires rapprochées à risque se trouvent juste en-dessous des 10.700Km (great circle) en ligne droite de Pyongyang à NYC. Un missile taepodong-2-C/14.964Km, égaré, calculé par un spécialiste de l’ICAO, c’est la catastrophe non convoitée pour l’économie à Bay-Street. Le Diefenbunker réinventé près d’Ottawa est-il ipso facto conséquent quand Haïti est juste la tâche de 4 aérodromes. Un tollé icaœn s’en est suivi dans ce monde onusien en berne par la vertu de faux espoirs fondés sur M. Guterres. Remarque subséquente : une coalition réinventée de pays islamistes par la vertu du dictateur, T Erdogan de Turquie, déclare « Jérusalem-Est capitale de la Palestine », avec le risque de la bâtardise de Bachar le cruel Syrien dénoncé de génocide. Complexité : le Canada ne dénie.
Ce n’est donc sans raison ce scandale car le spécialiste qui a effectué le calcul à même les bases de données de l’OACI est de la boîte. Je voulais mesurer l’efficacité des ressources. Il a opéré une simulation qui rapporte plus d’une donnée dont celle de parcours et de routes avec les zones à risque ainsi que l’importance du trafic régulier, par saison par année, sur une période étendue. C’est ainsi qu’à ma demande, voulant bypass-er le temps alloué aux relations publiques du séminaire, il simula en accéléré avec météo et identité corporative, les routes potentielles de la CSeries de Bombardier vendue à Airbus pour échapper au bras de Boeing. 11% de part de marché aurait été en jeu avec la qualité de la CSeries, aux dépens de Boeing-737. En outre, en vendant à Airbus, la simulation soulève deux interrogations : Airbus est-il en complot avec Boeing afin de fermer la vanne potentielle à Bombardier qui risquait de rafler trop de part de marché dont un assez lucratif ou, Bombardier s’est-il fait avoir par Airbus, volontairement, afin de défier la capacité de Boeing, se fermant lui-même dans un sorte de souricière sans résultats économiques escomptés tant par Ottawa/Québec que par Bay street et, par la Caisse de dépôt du Québec ou, le geste du partenaire est-il alors anti-américain ?
Trudeau est-il cette main cachée du génie.ca derrière cette erreur de calcul inutile ?
La question restera hélas anodine car la machine politique joue au redéploiement de richesse en mode pré-électoral afin de berner le citoyen inscrit qui vote. En outre, sur 836954 Rtes, la CSeries 124-places occuperait 10434, du Boeing-737 126-places, au potentiel de 91560, soit +-11%, tandis qu’en comparaison E-Jet family/EMBRAER ne dessert qu’un % négligeable, nonobstant l’Allemand, suspect, lié à celui-ci. En refusant de négocier à gré, le chasseur de l’Armée canadienne avec Boeing, leur préférant du désuet de Sidney, nul ne peut nier là le spectre Trudeau/Garneau. Mais pour gagner quoi, la défense canadienne est intiment liée aux Américains, sous la ligne des menaces de la Corée du Nord, tandis que l’Europe est tributaire de protection armée américaine, depuis la fin de la WWII.
Airbus acquérant en accéléré la CSeries de Bombardier, avait-il alors ce scénario à l’étude et pourquoi, car le contraire serait le coup de poker en dépit d’une autre simulation puisque le pattern du constructeur européen est fastidieux en rapports d’expertise. Ce qui émet le doute conséquent, à savoir Airbus avait-il ses espions industriels implantés chez Bombardier ?
Théorie de l’absurde, Bombardier sollicitant l’aide de l’État, trompait-il Ottawa/Québec qui héberge un fabricant de simulateur Boeing ? Si l’on convertissait/adaptait l’algorithme du simulateur de vol du Boeing-737 chez CAE (ville Saint-Laurent), ou chez Frequentis en négociation avec Haïti pour la fourniture de services et d’instrumentation de communication intégrée au niveau de l’OACI en matière d’échanges, de plan de vol, trouverait-on le vrai jockey dans cette affaire de G$ investis en coup de vent, qui s’est vu offrir en prime de performance chez la haute direction de Bombardier ? Y aurait-il délit d’initié, alors là Haïti en Duvalier serait encore saint par-devant la défunte Commission Charbonneau.